Je ne suis pas là pour être aimé - Stéphane Brize - 2005
Modérateur : dino VELVET
- snake_7
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Je ne suis pas là pour être aimé - Stéphane Brize - 2005
Synopsis :
50 ans, huissier de justice, le coeur et le sourire fatigués, Jean-Claude Delsart a depuis longtemps abandonné l'idée que la vie pouvait lui offrir des cadeaux. Jusqu'au jour où il s'autorise à pousser la porte d'un cours de tango...
Date de sortie : 12 Octobre 2005
Avec : Patrick Chesnais, Anne Consigny, Georges Wilson
Budget : 2,19 millions d'euros
Vu cet après-midi, pas le temps de déveloper mais c' était bon.
J' y reviens quand j ai un peu le temps
"Le monde est un bel endroit, qui vaut la peine qu'on se batte pour lui,Je suis d'accord avec la seconde partie."
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Bon alors, me demandez pas pourquoi, mais j'ai a-do-ré.
Enfin si, je sais pourquoi. Y'a Anne Consigny dedans le film, et je ne peux pas résister à sa beauté cristalline. C'est bien simple, c'est le genre de nana qui est belle meme avec un sac poubelle sur la gueule. Alors c'est sûr, c'est pas Monica Bellucci, mais moi je ne peux résister.
Mais revenons au film.
Pratiquement tout passe par le non-dit dans cette histoire d'un huissier en proie à une grave crise de conscience personnelle et professionnelle (la crise de la quarantaine dans le fond), qui se met au tango et a un coup de foudre pour une autre participante (Anne Consigny donc). Et c'est ca qu'est bon.
Ca parle de l'incommunicabilité, du refoulement des émotions, de la pression familiale, des espérances avortées, des obligations qu'on se crée soi-même pour des raisons et de toutes ces décisions qu'on prend à l'encontre de son coeur et de ses envies, du manque de confiance en soi.
Mais le film ne serait rien sans la formidable alchimie qui bout entre Patrick Chesnais et Anne Consigny. Pas besoin de dialogues lourdingues ou de diatribes inutiles, tout passe par un geste infime, un regard à la dérobée.
Là encore un vrai coup de coeur.
Enfin si, je sais pourquoi. Y'a Anne Consigny dedans le film, et je ne peux pas résister à sa beauté cristalline. C'est bien simple, c'est le genre de nana qui est belle meme avec un sac poubelle sur la gueule. Alors c'est sûr, c'est pas Monica Bellucci, mais moi je ne peux résister.
Mais revenons au film.
Pratiquement tout passe par le non-dit dans cette histoire d'un huissier en proie à une grave crise de conscience personnelle et professionnelle (la crise de la quarantaine dans le fond), qui se met au tango et a un coup de foudre pour une autre participante (Anne Consigny donc). Et c'est ca qu'est bon.
Ca parle de l'incommunicabilité, du refoulement des émotions, de la pression familiale, des espérances avortées, des obligations qu'on se crée soi-même pour des raisons et de toutes ces décisions qu'on prend à l'encontre de son coeur et de ses envies, du manque de confiance en soi.
Mais le film ne serait rien sans la formidable alchimie qui bout entre Patrick Chesnais et Anne Consigny. Pas besoin de dialogues lourdingues ou de diatribes inutiles, tout passe par un geste infime, un regard à la dérobée.
Là encore un vrai coup de coeur.
- snake_7
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A vi tiens j' allais l' oublier
Je rejoins Zorg qui a tout bien résumé, meme pour Anne Consigny que le rejoins Elle et Patrick Chesnais nous livre une interpretation tout en finesse et en retenue très touchante. Le genre de ptit film bien discret mais qui vaut vraiment le coup d' être vu. Ca sent le vrai pendant 1h30 et ca fait du bien.
Note : 7/10
Je rejoins Zorg qui a tout bien résumé, meme pour Anne Consigny que le rejoins Elle et Patrick Chesnais nous livre une interpretation tout en finesse et en retenue très touchante. Le genre de ptit film bien discret mais qui vaut vraiment le coup d' être vu. Ca sent le vrai pendant 1h30 et ca fait du bien.
Note : 7/10
"Le monde est un bel endroit, qui vaut la peine qu'on se batte pour lui,Je suis d'accord avec la seconde partie."