Une série B en or massif.
Un film noir racé.
Cold in July, c’est un spectacle old school à crever
Un film direct, carré, simple et linéaire (bien que riche en rebondissements).
Du solide
Un scope carpenterien, une photo délicieusement délavée et une bande-son électro donnent naissance à une ambiance particulière et mélancolique.
Bienvenue en 1989, dans un coin paumé du Texas.
Mine de rien, Jim Mickle a sacrément progressé.
Que de chemin parcouru depuis
Mulberry street et
Stake land !
Cold in July, c’est aussi un casting parfait et une interprétation impeccable.
On y retrouve un trio de comédiens en grande forme : Michael C. Hall (qui a décidément perdu son temps dans
Dexter ...), Sam Shepard et Don Johnson.
Bref, un film à l’ancienne (pas d’autre prétention que de raconter une bonne histoire) dans lequel tout m’a plu (j’ai beau me creuser la tête, je n’arrive pas à lui trouver de véritable défaut).
J’ai passé un sacré bon moment.
Des « petits » films comme ça, j’en veux bien tous les jours
