
Et je continue l'exploration de la filmo de Guillaume Nicloux (il ne m'en reste d'ailleurs très peu à découvrir).Un homme part chasser dans une forêt qu'il croyait connaître. Mais son chien s'enfuit puis son fusil disparaît. Alors qu'il se perd, une atmosphère hostile et étrange s'installe ...
Pour The End, je peux ressortir les deux mêmes principales observations que pour Valley of love :
- Nicloux aborde le fantastique d'une façon particulière, intéressante mais pas tout à fait concluante à mes yeux (je préférais lorsqu'il ne faisait qu'effleurer le genre avec Cette femme-là).
- Depardieu est parfaitement utilisé (rares sont les acteurs à pouvoir camper un tel rôle sans sombrer dans le ridicule).
A l'arrivée, ça donne un drôle d'objet cinématographique, quasi-expérimental aux entournures.
Une sorte de survival forestier psychologique et intimiste.
Très cryptique aussi.
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