
Hum … difficile de dire si j’ai apprécié (plutôt pas).Robert Graves, médecin psychiatre, est associé à un mystérieux patient, Crossley, pour comptabiliser les points d’un match de cricket organisé pour occuper l’après-midi des pensionnaires d’un hôpital psychiatrique anglais. Laissant le soin à Graves d’officier, Crossley se lance dans l’évocation de son passé. De retour d’un séjour de 18 ans chez les Aborigènes Australiens - où il découvrit la sorcellerie et tua ses deux enfants - il investit la maison, et la vie des Fielding, un couple anglais sans histoires. Menaçant ceux-ci d’user de son "Cri du Sorcier", censé tuer quiconque l’entend à la ronde, il prend possession de la demeure du couple, à la fois fasciné et répugné par cet homme au charisme et aux pouvoirs captivants …
Difficile, aussi, de dire si j’ai correctement appréhendé le film

En fait, je ne peux m’empêcher de questionner l’authenticité de la chose.
Produit « intello-branletteux » ou vraie démarche créative ?
Difficile à dire …
Toujours est-il que nous sommes en présence d’un long-métrage bizarroïde renfermant des moments très étranges.
Je pense tout particulièrement à la fameuse séquence du cri et encore plus à celle dans laquelle le personnage d’Anthony Fielding (John Hurt) rentre chez lui et découvre le magnétique Charles Crossley (Alan Bates) attablé … avec sa femme accroupie à côté de lui.
Bref, un film assez insaisissable.
Une curiosité
