non ullrich a gagné l'étape avec 1.30 d'avance sur armstrong toujours en jaune
et les intermittents ne sont pas des sauvages
Le tour de France
Modérateur : dino VELVET
-
Rockatansky
- Tycoon
- Messages : 13812
- Enregistré le : 08.12.2002 - 13:52
-
Colonel Kurtz
- Gouverneur
- Messages : 8363
- Enregistré le : 14.10.2002 - 21:48
- Localisation : Vendée
- Contact :
-
Rockatansky
- Tycoon
- Messages : 13812
- Enregistré le : 08.12.2002 - 13:52
-
Rockatansky
- Tycoon
- Messages : 13812
- Enregistré le : 08.12.2002 - 13:52
Grosse étape aujourd'hui avec Armstrong qui met une minute à tout le monde malgré une chute dans la derniere ascension
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
-
Invité
-
Rockatansky
- Tycoon
- Messages : 13812
- Enregistré le : 08.12.2002 - 13:52
Oui mais vu qu'ils n'ont guere réagi à son attaque je pense qu'il ne pouvaient pas faire grand chose, sinon t pas au boulot toi ?trotinette a écrit :les autres ont ete sport, ils l ont attendu. c est tres coolRockatansky a écrit :Grosse étape aujourd'hui avec Armstrong qui met une minute à tout le monde malgré une chute dans la derniere ascension
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
-
Invité
si mais j ai la tele en salle de pauseRockatansky a écrit :Oui mais vu qu'ils n'ont guere réagi à son attaque je pense qu'il ne pouvaient pas faire grand chose, sinon t pas au boulot toi ?trotinette a écrit :les autres ont ete sport, ils l ont attendu. c est tres coolRockatansky a écrit :Grosse étape aujourd'hui avec Armstrong qui met une minute à tout le monde malgré une chute dans la derniere ascension
-
Colonel Kurtz
- Gouverneur
- Messages : 8363
- Enregistré le : 14.10.2002 - 21:48
- Localisation : Vendée
- Contact :
-
Rockatansky
- Tycoon
- Messages : 13812
- Enregistré le : 08.12.2002 - 13:52
Il a quand meme essayé d'attaquer dans le Tourmalet, je pense qu'il ne pouvait pas plus, tout le monde à quand meem esssayé d'attaquer Armstrong cette année, mais il leur a quand meme montré qu'il restait pour l'instant le plus fort.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
-
Colonel Kurtz
- Gouverneur
- Messages : 8363
- Enregistré le : 14.10.2002 - 21:48
- Localisation : Vendée
- Contact :
Vivement l'année prochaine,ça va être très ouvert ! 
La petite rétrospective du Tour 2003 sur Stade 2 était impressionnante en tout cas,voir Armstrong tout arracher dans la montagne avec la musique de Gladiator,ou Beloki tomber sous la musique d'Irréversible(je crois bien,ou c'était la chute d'Ulrich je sais plus),c'était...géant !
La petite rétrospective du Tour 2003 sur Stade 2 était impressionnante en tout cas,voir Armstrong tout arracher dans la montagne avec la musique de Gladiator,ou Beloki tomber sous la musique d'Irréversible(je crois bien,ou c'était la chute d'Ulrich je sais plus),c'était...géant !
-
Rockatansky
- Tycoon
- Messages : 13812
- Enregistré le : 08.12.2002 - 13:52
Trés bonne cuvée pour le Tour du centenaire, avec un grand Armstrong qui a su répondre aux nombreuses attaques contre lui.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Oui, magnifique Tour de France.
Plus les coureurs vont vite, moins il y a de dopage. C'est fabuleux. On est enfin arrivé à prouver que le dopage ne sert à rien.
Source : L'Humanité
40,95 km/h : le record qui fâche
On a roulé beaucoup plus vite dans ce Tour du centenaire que durant les années EPO. Deux questions, au choix : " à quoi servait donc le dopage ? " ou " se dope-t-on encore et toujours ? "
Pour remporter son cinquième Tour de France, Lance Armstrong a passé environ trois heures de moins sur son outil de travail qu'en 2001, année de son triplé, pour une distance parcourue équivalente (3 427 kilomètres contre 3 458). Conséquence logique : il explose la meilleure moyenne horaire jamais réalisée dans la Grande Boucle - propriété de Armstrong en 1999 (Tour du renouveau !) à 40,276 km/h - et l'établit à 41,272, soit un kilomètre/heure de plus. Du jamais vu. Bien plus, un tiers des arrivants à Paris ont battu ce record (près de 40,3 km/h de moyenne pour Miholjevic, cinquantième au classement). Parmi eux, Tyler Hamilton, quatrième du classement général avec une clavicule fêlée (puisque ce n'est pas une fracture franche) : 41,1 km/h. Record du monde sur un bras.
Si l'on compare à 2001, donc à distance équivalente, près de la moitié du peloton est allé plus vite que le vainqueur de cette édition, l'incontournable Lance Armstrong. Enfin, dernier point de repère : la lanterne rouge, De Clercq, a roulé plus vite que le vainqueur de l'édition 1996, Bjarne Riis (39,5 contre 39,227).
Nous avons donc vécu ces dernières semaines le Tour de France le plus rapide de l'histoire, bien plus véloce que ceux des " années EPO " (1990-1998). Dès lors, deux questions se posent, au choix : " à quoi servait donc le dopage ? " ou " se dope-t-on encore et toujours ? " Polémiques.
Pour Jean-Marie Leblanc, le débat est clos. Les progrès de la technologie, du matériel, de l'état des routes, les conditions climatiques : voilà qui, pour le directeur du Tour, devrait suffire à expliquer ce grand bond en avant. Samedi midi, dans le cadre d'un reportage diffusé lors d'un journal télévisé de la mi-journée, il vilipendait ces " intellectuels de salon qui comptent le nombre de coups de pédale sans tenir compte du vent, du temps, des progrès technologiques ", etc. Principale cible : Antoine Vayer, ancien entraîneur chez Festina, professeur d'EPS, dont la thèse sur les puissances développées par les coureurs se trouve en cours de validation scientifique. Ces dernières semaines, il a chroniqué le Tour pour Libération après l'avoir fait pour l'Humanité il y a deux ans. Dans l'une de ses chroniques, il a mis en exergue les temps record réalisés par les champions dans les cols, provoquant la colère de la Société du Tour de France, avec publication de communiqué et tout le toutim.
La parole à l'accusé. Joint samedi par téléphone, l'intéressé n'en démord pas : " Est-ce que le dopage a existé ? Oui. Est-ce que l'EPO a permis d'améliorer les moyennes horaires ? Oui. Les moyennes actuelles sont encore supérieures à celles de l'époque. Est-ce que les coureurs se dopent toujours ? Je réponds oui. " Mais, plus que les moyennes horaires, la bible de Vayer, ce sont les puissances développées par les coureurs. " Celles développées par les dix premiers du classement général leur auraient permis de remporter les Tours 1991 ou 1992 (remportées par Indurain - NDLR), années où l'EPO n'était déjà plus en phase d'expérimentation ", affirme-t-il.
Les améliorations technologiques ? Vayer répond : " Lorsque Zulle remporte le contre-la-montre de Trieste sur le Giro 1998 à la moyenne hallucinante de 53,771 km/h, il porte déjà la même combinaison qu'Armstrong samedi. Mais dans sa performance, la préparation du matériel ne représentait rien par rapport à la préparation médicale. " On sut en effet après, que le coureur suisse était sous protocole EPO.
Quant aux conditions climatiques avancées par Jean-Marie Leblanc comme facteur explicatif, parlons-en. Absence de pluie ? C'est vrai. Le vent ? Oui, dans les derniers jours (1). Et la canicule, alors ? Elle a assommé le peloton pendant près de deux semaines. Pas tellement favorable aux envolées... Antoine Vayer revient à la charge avec ses tableaux : " Les performances de l'ensemble du peloton ne me paraissent pas inhumaines. Il profite de l'aspiration de ceux qui sont devant. Nous avons assisté à un Tour à deux vitesses : devant, il y a une vingtaine de coureurs qui font le spectacle, avec un dopage de riches, et derrière, tous les autres qui en chient pour essayer de suivre. "
Des preuves tangibles, M. Vayer ? Aucune, puisque les contrôles antidopage effectués pendant de Tour du centenaire se sont tous révélés négatifs - sauf un. Voilà qui devrait rassurer les organisateurs. Et pourtant, dans un livre (2) paru récemment, Patrice Clerc, président d'Amaury Sport Organisation (maison mère de la Société du Tour de France), ne cache pas ses doutes : " C'est là, en vérité, que je diffère aussi de Jean-Marie (Leblanc - NDLR), et que je diffère aussi d'Hein Verbruggen : ils auraient tendance à dire, en parfaits légalistes qu'ils sont : " S'il n'y a pas de contrôle positif, c'est qu'il n'y a pas de dopés. " Eh bien moi, j'ai la conviction qu'il vaut mieux dire : " S'il n'y a pas de contrôle positif, c'est que les gendarmes courent moins vite que les coureurs ! " Je suis persuadé que certains coureurs, conseillés par des médecins véreux, passent au travers des mailles du filet ". Alors, que font les gendarmes ?
Christophe Deroubaix
(1) Ce qui a permis à l'étape Bordeaux et Saint-Maixent-l'Ecole (203,5 km) de devenir la deuxième étape en ligne la plus rapide de l'histoire (50,185 km/h), derrière Laval-Blois (194,5 km) en 1999 à 50,355 km/h. Mais cette dernière avait été disputée en début de Tour, tandis que la première s'est déroulée en fin d'édition après le franchissement des Alpes et des Pyrénées.
(2) Ces messieurs du Tour de France. Entretiens de Christophe Penot. Editions Cristel. 187 pages. 17,99 euros.
Plus les coureurs vont vite, moins il y a de dopage. C'est fabuleux. On est enfin arrivé à prouver que le dopage ne sert à rien.
Source : L'Humanité
40,95 km/h : le record qui fâche
On a roulé beaucoup plus vite dans ce Tour du centenaire que durant les années EPO. Deux questions, au choix : " à quoi servait donc le dopage ? " ou " se dope-t-on encore et toujours ? "
Pour remporter son cinquième Tour de France, Lance Armstrong a passé environ trois heures de moins sur son outil de travail qu'en 2001, année de son triplé, pour une distance parcourue équivalente (3 427 kilomètres contre 3 458). Conséquence logique : il explose la meilleure moyenne horaire jamais réalisée dans la Grande Boucle - propriété de Armstrong en 1999 (Tour du renouveau !) à 40,276 km/h - et l'établit à 41,272, soit un kilomètre/heure de plus. Du jamais vu. Bien plus, un tiers des arrivants à Paris ont battu ce record (près de 40,3 km/h de moyenne pour Miholjevic, cinquantième au classement). Parmi eux, Tyler Hamilton, quatrième du classement général avec une clavicule fêlée (puisque ce n'est pas une fracture franche) : 41,1 km/h. Record du monde sur un bras.
Si l'on compare à 2001, donc à distance équivalente, près de la moitié du peloton est allé plus vite que le vainqueur de cette édition, l'incontournable Lance Armstrong. Enfin, dernier point de repère : la lanterne rouge, De Clercq, a roulé plus vite que le vainqueur de l'édition 1996, Bjarne Riis (39,5 contre 39,227).
Nous avons donc vécu ces dernières semaines le Tour de France le plus rapide de l'histoire, bien plus véloce que ceux des " années EPO " (1990-1998). Dès lors, deux questions se posent, au choix : " à quoi servait donc le dopage ? " ou " se dope-t-on encore et toujours ? " Polémiques.
Pour Jean-Marie Leblanc, le débat est clos. Les progrès de la technologie, du matériel, de l'état des routes, les conditions climatiques : voilà qui, pour le directeur du Tour, devrait suffire à expliquer ce grand bond en avant. Samedi midi, dans le cadre d'un reportage diffusé lors d'un journal télévisé de la mi-journée, il vilipendait ces " intellectuels de salon qui comptent le nombre de coups de pédale sans tenir compte du vent, du temps, des progrès technologiques ", etc. Principale cible : Antoine Vayer, ancien entraîneur chez Festina, professeur d'EPS, dont la thèse sur les puissances développées par les coureurs se trouve en cours de validation scientifique. Ces dernières semaines, il a chroniqué le Tour pour Libération après l'avoir fait pour l'Humanité il y a deux ans. Dans l'une de ses chroniques, il a mis en exergue les temps record réalisés par les champions dans les cols, provoquant la colère de la Société du Tour de France, avec publication de communiqué et tout le toutim.
La parole à l'accusé. Joint samedi par téléphone, l'intéressé n'en démord pas : " Est-ce que le dopage a existé ? Oui. Est-ce que l'EPO a permis d'améliorer les moyennes horaires ? Oui. Les moyennes actuelles sont encore supérieures à celles de l'époque. Est-ce que les coureurs se dopent toujours ? Je réponds oui. " Mais, plus que les moyennes horaires, la bible de Vayer, ce sont les puissances développées par les coureurs. " Celles développées par les dix premiers du classement général leur auraient permis de remporter les Tours 1991 ou 1992 (remportées par Indurain - NDLR), années où l'EPO n'était déjà plus en phase d'expérimentation ", affirme-t-il.
Les améliorations technologiques ? Vayer répond : " Lorsque Zulle remporte le contre-la-montre de Trieste sur le Giro 1998 à la moyenne hallucinante de 53,771 km/h, il porte déjà la même combinaison qu'Armstrong samedi. Mais dans sa performance, la préparation du matériel ne représentait rien par rapport à la préparation médicale. " On sut en effet après, que le coureur suisse était sous protocole EPO.
Quant aux conditions climatiques avancées par Jean-Marie Leblanc comme facteur explicatif, parlons-en. Absence de pluie ? C'est vrai. Le vent ? Oui, dans les derniers jours (1). Et la canicule, alors ? Elle a assommé le peloton pendant près de deux semaines. Pas tellement favorable aux envolées... Antoine Vayer revient à la charge avec ses tableaux : " Les performances de l'ensemble du peloton ne me paraissent pas inhumaines. Il profite de l'aspiration de ceux qui sont devant. Nous avons assisté à un Tour à deux vitesses : devant, il y a une vingtaine de coureurs qui font le spectacle, avec un dopage de riches, et derrière, tous les autres qui en chient pour essayer de suivre. "
Des preuves tangibles, M. Vayer ? Aucune, puisque les contrôles antidopage effectués pendant de Tour du centenaire se sont tous révélés négatifs - sauf un. Voilà qui devrait rassurer les organisateurs. Et pourtant, dans un livre (2) paru récemment, Patrice Clerc, président d'Amaury Sport Organisation (maison mère de la Société du Tour de France), ne cache pas ses doutes : " C'est là, en vérité, que je diffère aussi de Jean-Marie (Leblanc - NDLR), et que je diffère aussi d'Hein Verbruggen : ils auraient tendance à dire, en parfaits légalistes qu'ils sont : " S'il n'y a pas de contrôle positif, c'est qu'il n'y a pas de dopés. " Eh bien moi, j'ai la conviction qu'il vaut mieux dire : " S'il n'y a pas de contrôle positif, c'est que les gendarmes courent moins vite que les coureurs ! " Je suis persuadé que certains coureurs, conseillés par des médecins véreux, passent au travers des mailles du filet ". Alors, que font les gendarmes ?
Christophe Deroubaix
(1) Ce qui a permis à l'étape Bordeaux et Saint-Maixent-l'Ecole (203,5 km) de devenir la deuxième étape en ligne la plus rapide de l'histoire (50,185 km/h), derrière Laval-Blois (194,5 km) en 1999 à 50,355 km/h. Mais cette dernière avait été disputée en début de Tour, tandis que la première s'est déroulée en fin d'édition après le franchissement des Alpes et des Pyrénées.
(2) Ces messieurs du Tour de France. Entretiens de Christophe Penot. Editions Cristel. 187 pages. 17,99 euros.
-
Rockatansky
- Tycoon
- Messages : 13812
- Enregistré le : 08.12.2002 - 13:52
