En 1215, le roi d’Angleterre, Jean, a été contraint de signer la Magna Carta, un document qui assure la liberté du peuple et constitue désormais la base du droit commun en Angleterre. Furieux d’y avoir été forcé, il lève une armée de mercenaires et commence à piller le pays pour reprendre le pouvoir. Il est sur le point d’atteindre Londres et de remporter la victoire, mais un dernier obstacle se dresse encore sur sa route : le château de Rochester. À l’intérieur, rassemblée par le baron Albany, une petite bande de guerriers rebelles s’est jurée de retenir le roi Jean jusqu’à l’arrivée des renforts. Elle compte un chevalier Templier ; Isabel, la dame du château, mais aussi des mercenaires endurcis comme Beckett et des jeunes soldats tels Guy, qui va goûter à la bataille pour la première fois – et peut-être bien la dernière. Chacun a ses espoirs, ses démons et ses secrets. De part et d’autre de la muraille, les deux camps sont prêts à tout pour l’emporter et l’heure de l’affrontement approche ...
Une daube !
Postulat bandant (un film de siège moyenâgeux), résultat lamentable.
C’est chiant comme la pluie (interminable !) et sans un pet’ de souffle.
Un film shooté par des parkinsoniens et monté à la tronçonneuse.
Du coup, on a des séquences de baston brutales et sanglantes mais … pas lisibles pour deux sous (gerbovision !).
Le casting est cossu (James Purefoy, Paul Giamatti, Brian Cox, Charles « Game of thrones » Dance, Vladimir « Treizième guerrier » Kulich, le trop rare Jason Flemyng) mais on sent que les acteurs ne sont pas dans le truc (Giamatti cabotine pour dissimuler son embarras, Cox fait le minimum syndical, etc.).
Un seul truc à sauver : une scène involontairement poilante.
Spoiler: Afficher
Une petite oasis de bonheur (je me suis bien marré ) dans une étendue de fange.