Un titre prometteur.Wolverine, le personnage le plus emblématique de l’univers des X-Men, est entraîné dans une aventure ultime au cœur du Japon contemporain. Plongé dans un monde qu’il ne connaît pas, il doit faire face au seul ennemi de son envergure, dans une bataille à la vie à la mort. Vulnérable pour la première fois et poussé au bout de ses limites physiques et émotionnelles, Wolverine affrontera non seulement l’acier mortel du samouraï mais aussi les questions liées à sa propre immortalité.
Un « Wolverine au Japon » emballé par James « Cop Land » Mangold, ça fait saliver
Du coup, je me suis procuré la version longue de la chose et j’ai lancé le film avec de bons espoirs.
A l’arrivée : grosse déception
S’il est supérieur au X-Men origins : Wolverine de Gavin Hood, le film reste néanmoins très moyen
Deux sérieux problèmes à mes yeux :
- Un gros manque d’âme (une fois encore, on tombe dans le travers du produit formaté ...).
- Un background nippon de pacotille (le Japon façon reportage de TF1 ... pas glop !
).A cela se rajoutent d’autres défauts comme une méchante mutante sans épaisseur et des apparitions gonflantes de Jean Grey.
C’est dommage, car le personnage-titre (campé par un Hugh Jackman parfait et hyper investi physiquement !) est traité adroitement.
On sent bien son côté bestial, violent, asocial.
J’ai adoré le moment iconique où il part au combat le cigare au bec
On se console aussi avec la scène du train (cette impression de vitesse putain !!!
) et ce vieillard dans un exosquelette d’adamantium (clin d’œil à Roujin Z ?).Quelques qualités, oui, mais pas de quoi sauver le film.
Dommage
