
Izumi est mariée à un célèbre romancier romantique mais leur vie semble n'être qu'une simple répétition sans romance. Un jour, elle décide de suivre ses désirs et accepte de poser nue et de mimer une relation sexuelle devant la caméra. Bientôt, elle rencontre un mentor et commence à vendre son corps à des étrangers, mais chez elle, elle reste la femme qu'elle est censée être. Un jour, le corps d'une personne assassinée est retrouvé dans le quartier des "love hôtels". La police essaie de comprendre ce qui s'est passé.
Mon troisième Sono Sion après Suicide club et Noriko’s dinner table (vus il y a longtemps).
Je ne sais pas si j’ai aimé !

C’est difficile à dire. Dans le doute, je vais lancer un « moyen ».
Film intéressant en tout cas. Fascinant aussi.
Un métrage trouble et troublant.
Poisseux, vénéneux, sexuel, barré.
Une expérience fondamentalement bizarre dont on ressort sonné (j’ai vu la version longue de près de deux heures trente et j’ai mis un peu de temps à m’en remettre

Trois trajectoires marquantes : la femme au foyer, la prof’ de fac, la flic.
Un gros sous-texte social (la condition féminine au sein de la société nippone).
Un climax dément dans lequel ...
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A mon humble avis, les deux points de vue peuvent se défendre

Cette ambiguïté est, aussi, l’une des qualités du film.
Voilà pour ce curieux objet filmique qui vous colle au cerveau
