Je pensais que tu y faisais référencedino VELVET a écrit :mes plus plates excuses, je n'avais point vu le topic du "jeu" arf
Resident Evil
Modérateur : dino VELVET
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Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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perso quand j'ai vu resident evil j'ai eu l'impression de voir un remake du jour des morts vivants (film par ailleurs culte )...
donc du coup j'ai aimé mais vraiment sans plus..
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Arf c'est vrai qu'étant un fan absolu du jeu (tous les RE depuis la first playstation jusqu'aux fabuleux derniers opus sur la Cube)ma déception n'en est sans doute que plus grande,enfin faut pas déconner non plus,c'est très faiblard quand même .
Je l'avais vu dans la même période que Rollerball 2000,et dans mon esprit je les rapproche toujours,c'est dire l'étendue des dégats .
Ok le pré-génerique est pas mal....ils auraient du s'arrêter là !
(et dire qu'un temps Romero était pressenti ,et avait notamment torché des pubs sur le jeu sur les télés jap...)
Je l'avais vu dans la même période que Rollerball 2000,et dans mon esprit je les rapproche toujours,c'est dire l'étendue des dégats .
Ok le pré-génerique est pas mal....ils auraient du s'arrêter là !
(et dire qu'un temps Romero était pressenti ,et avait notamment torché des pubs sur le jeu sur les télés jap...)
En fait j'ai très vite repéré tout ce qui me décevait, eu égard au potentiel.
A préciser que je suis un joueur passionné du premier.
C'est évidemment aseptisé, froid. J'ai des reproches sur l'interprétations, même de certains de mes persos préférés.
Et pourtant pour moi ça a bien collé pour quelques points clairs:
- j'adore l'ambiance musicale, sobre, "high tech" et hard à la fois. En qq notes, les compositeurs, et Manson en têt, ont réussi à ce que les thèmes me restent dans la tête des mois après, ça arrive sur un film sur 10. Peut-être ce que j'ai préféré.
- c'est la période où j'étais envoûté par Milla.
- Milla était présente à mon avant-première (ainsi que son futur mari Paul Anderson..), voir 2è tiret
- des passages excellents, prégénérique, fin...
- un film tiré au cordeau.
Et pourtant croyez-moi, j'ai ausssi regretté le côté plus hi tech que crade, l'utilisation de souterrains plus cheap (voir en largement pire leur utilisation dans Hollow man..), l'action trop rare, le fait que ça n'aille pas assez loin en gros, et même une certaine passivité d'une Milla hirsute qui subit plus qu'elle n'agit.
Des défauts, encore des défauts, et pourtant .. du vrai plaisir à voir et revoir.
Pour résumer, la meilleure déception de l'année, à 2000 années-lumières de Rollerball, auquel je n'ai pas encore trouvé une seule qualité, risible sans être amusant, un comble!
A préciser que je suis un joueur passionné du premier.
C'est évidemment aseptisé, froid. J'ai des reproches sur l'interprétations, même de certains de mes persos préférés.
Et pourtant pour moi ça a bien collé pour quelques points clairs:
- j'adore l'ambiance musicale, sobre, "high tech" et hard à la fois. En qq notes, les compositeurs, et Manson en têt, ont réussi à ce que les thèmes me restent dans la tête des mois après, ça arrive sur un film sur 10. Peut-être ce que j'ai préféré.
- c'est la période où j'étais envoûté par Milla.
- Milla était présente à mon avant-première (ainsi que son futur mari Paul Anderson..), voir 2è tiret
- des passages excellents, prégénérique, fin...
- un film tiré au cordeau.
Et pourtant croyez-moi, j'ai ausssi regretté le côté plus hi tech que crade, l'utilisation de souterrains plus cheap (voir en largement pire leur utilisation dans Hollow man..), l'action trop rare, le fait que ça n'aille pas assez loin en gros, et même une certaine passivité d'une Milla hirsute qui subit plus qu'elle n'agit.
Des défauts, encore des défauts, et pourtant .. du vrai plaisir à voir et revoir.
Pour résumer, la meilleure déception de l'année, à 2000 années-lumières de Rollerball, auquel je n'ai pas encore trouvé une seule qualité, risible sans être amusant, un comble!
Alain Delon considère que Jason est lui aussi un Dieu, adoré par toutes les femmes. Au Japon Jason signifie virilité inépuisable avec une grande collection de dvd et de statues.